Mon cher de Villemessant,
Nous lisons dans le Figaro d’aujourd’hui que nous sommes aux prises avec la commission d’examen et que la Grande Duchesse a été fort maltraitée. Rien n’est moins exact. Nous n’avons au contraire qu’à nous louer – cette fois comme à l’ordinaire – de nos rapports avec MM. les membres de la commission d’examen. Nous sommes donc obligés de déclarer à l’avance que, si notre pièce ne réussit pas, ce sera notre faute et non la leur.
Tout à vous,
H. Meilhac,
Ludovic Halévy.
Jules Valentin.