On sait qu’aux termes de leurs traités avec la Société des auteurs dramatiques, tous les théâtres doivent donner chaque année une ou plusieurs représentations au bénéfice de la caisse de secours de cette société.
Ces bénéfices constituent même la principale ressource de cette caisse, toujours ouverte à l’infortune.
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Un autre théâtre, empêché par l’inépuisable succès d’une pièce d’Offenbach, qui ne permettait pas d’interruption, a également payé sa dette en déposant 500 francs.
Jules Prével.