Puisqu’un nouvelliste aux abois s’occupe à découvrir, dans les cafés-concerts, des Schneider au rabais, c’est l’occasion de vous conter qu’en 1864, il s’en fallut de bien peu que le café-concert ne ravit au théâtre la vraie et la seule Schneider.
C’était au moment de la Belle Hélène. La blonde Hortense avait le spleen ; on vint la tenter, et si le tentateur n’eût pas reculé à l’heure décisive devant les prétentions légitimes de l’artiste, le sacrifice eût été consommé.
Et c’eût été grand dommage !
Jules Prével.