Il est question de monter aux Bouffes une nouvelle opérette de... (Inutile de nommer le musicien, vous ne connaissez que lui), intitulée : Jean qui pleure et Jean qui rit. Poètes : MM. Nuitter et Tréfeu.
Si M. Nuitter continue, je finirai aussi par ne plus le nommer.
Au même théâtre, on remonte la Chanson de Fortunio.
Vous savez de qui ? J’essaierais en vain de faire courir le bruit que la musique est de moi.
D’intelligentes coupures – toutes les coupures sont intelligentes... après la représentation – ayant été pratiquées au second acte de la Périchole, et Mlle Schneider se trouvant heureusement guérie de ses douleurs d’estomac, la pièce roule comme sur un vélocipède.
La caisse-Fichet de M. Coignard devenant insuffisante, il est question d’établir une cave sous les Variétés, dans le goût de celles de la Banque.
La délicieuse occupation de mettre des louis en bouteille !
Louis Leroy.