Il paraît qu’on avait abusé de la crédulité des boulevardiers, en annonçant que mademoiselle Schneider irait jouer en Egypte la Belle Hélène et la Grande Duchesse.
Les journaux et les correspondances de là-bas démentent absolument cette nouvelle.
Eh bien ! tant mieux mademoiselle Schneider a mieux à faire que d’aller contempler les pyramides et les débordements du Nil.
Hier, pendant la représentation de la Belle Hélène aux Variétés, une grêle de flèches, fabriquées avec des programmes, a inondé les premières et l’orchestre.
Jules Prével.