Le premier acte de la Périchole été acclamé à la lecture par les artistes.
MM. Offenbach, Meilhac et Halévy inaugurent dans cette pièce une nouvelle manière. C’est un mélange heureux d’opéra-comique, de comédie et d’opéra-bouffe.
Musique et poëme sont, dit-on, très-réussis. On cite particulièrement un grand air qui sera chanté par Mlle Schneider, dans lequel l’intelligente comédienne révélera des qualités dramatiques qu’on ne lui soupçonnait pas.
Pour remplacer Coscoletto, dont la musique n’est pas prête, il est question de donner, à l’ouverture des Bouffes, une autre pièce d’Offenbach, le Soldat magicien, qui a été déjà représenté à Ems.