1867

Semaine théâtrale

Dimanche 4 août 1867
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A L’OPÉRA-COMIQUE, le retour de M. Offenbach va donner une nouvelle activité aux études de Robinson Crusoé ; mais il n’est question de cet ouvrage que pour la fin de septembre.
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Il n’est guère de souverain ou d’altesse en visite à Paris, qui ne fass religieusement son pèlerinage à la Grande-Duchesse. Les rois de Portugal et de Bavière y sont allés cette semaine, et, dimanche dernier, le grand-duc Constantin applaudissait la Belle Hélène, parvenue à sa 271e représentation. (...)
La Grande-Duchesse de Gérolstein La Belle Hélène Robinson Crusoé

Nouvelles diverses

Dimanche 4 août 1867
Paris et départements
On nous écrit de Salins : « Les soirées du bel établissement de Salins sont cette année défrayées par les frères Guidon et Mlle Jeanne Duclos qui, outre leur répertoire si varié de concert, obtiennent les plus grands succès avec les spirituelles opérettes d’Offenbach. C’est ainsi qu’on a pu applaudir tour à tour : le Soixante-Six, Litchen et Fritzchen, le Violoneux, Pépito, etc. A l’issue de la saison, nos trois jeunes artistes sont attendus à Spa pour un grand (...)
Le Violoneux Pépito Le 66 Lischen et Fritzchen

Semaine théâtrale

Dimanche 3 novembre 1867
L’Empereur d’Autriche, le jour même de son entrée dans Paris, s’est empressé, nous l’avons dit, de faire sa visite à l’OPÉRA. Les jours suivants, Sa Majesté se rendait au THÉÂTRE-FRANÇAIS, à l’OPÉRA-COMIQUE, au THÉÂTRE-LYRIQUE et à une représentation de Mlle Patti au THÉÂTRE-ITALIEN. C’est une protestation du meilleur goût contre les préférences trop marquées des souverains qui l’ont précédé pour la Belle Hélène, la Grande-Duchesse et la Vie parisienne.
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Nous en jugerons peut-être (...)
La Grande-Duchesse de Gérolstein La Belle Hélène Geneviève de Brabant La Vie parisienne Robinson Crusoé

La semaine théâtrale

Dimanche 29 décembre 1867
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LES MENUS-PLAISIRS. — GENEVIÈVE DE BRABANT —
Mais quittons nos théâtres impériaux, et laissez-moi, lecteurs, vous transporter boulevard de Strasbourg, au pimpant théâtre de M. Gaspari, les Menus-Plaisirs, que l’archet d’Offenbach vient de transformer en Bouffes-Parisiens. Depuis longtemps déjà, le maestro de Geneviève de Brabant préméditait de rendre à la scène une musique qui avait eu le tort, passage Choiseul, de succéder trop brusquement à celle d’Orphée aux enfers. Conserver (...)
Les Deux Aveugles Orphée aux Enfers La Grande-Duchesse de Gérolstein Geneviève de Brabant

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