A Paris, Cervantes est à la mode.
En Allemagne, les théâtres ne jurent que par Offenbach.
A Ems, opéra nouveau d Offenbach, le Fifre enchanté.
A Aix-la-Chapelle, Orphée aux enfers, joué en allemand.
On descend le Rhin, de Mayence à Coblenz.
Sur le bateau monte un joueur de violon.
Il joue... vous écoutez ! Toujours Offenbach. C’est la valse de Lischen et Fritzchen.
On s’arrête à Bruxelles.
La première chose qu’on entend, c’est le Roi de Béotie.
Jules Claretie.