Je me plaignais à un mendiant qui, chaque matin, vient jouer de l’acordéon [1] dans ma cour, du peu de variété de son répertoire, qui se résume en une polka d’Offenbach.
– Je n’ai pas besoin de changer d’air, me dit-il d’un air naïf, je change si souvent de cour !
ADRIEN MARX.