1867
COMPTE RENDU DE L’INCIDENT
(…) Pourtant quelques beaux décors, quelques couplets bien frappés, arrêtent ce courroux justifié lorsqu’on arrive à la parodie de la Grande Duchesse de Gérolstein, par mademoiselle Silly. La claque fait encore à cette artiste une entrée folle, et encouragée par cet accueil, oubliant que ce qui peut plaire dans les petites gazettes ne convient pas sur une grande scène, mademoiselle Silly, outre ses effets, se passe la manque sous le nez, comme si elle voulait effacer la trace d’une prise de tabac ! (…)
Alfred d’Aunay.