M. Offenbach nous envoie une longue lettre en réponse à celle de M. Taimbaut qui a paru hier. Avec ce système de ripostes, la question ne sera jamais tranchée. Il faut pourtant que cela finisse.
Nous commençons aujourd’hui à arrêter les frais en ne donnant de la lettre de M. Offenbach que la conclusion :
. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Aujourd’hui même j’écris à M. de Bismark, à M de Beust, au maréchal Narvaez, à lord Derby et à M. Rattazzi (ou ; en cas de démission, à son successeur) pour les prier de vouloir bien passer chaque soir aux contrôles des différents théâtres de leurs capitales respectives pour y toucher mes droits.
Bien à vous.
JACQUES OFFENBACH.
___
Il paraît que mademoiselle Schneider fait sculpter un magnifique fauteuil aux armes de Gérolstein.
Mais l’artiste chargé de ce travail n’a pas voulu se laisser corrompre et nous montrer l’écusson et la devise de la grande duchesse.
Jules Prével.