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Théâtres

Le Figaro – Dimanche 14 avril 1867

Notre collaborateur Tarbé rend compte de la première de la Grande duchesse, mais il ne cite pas les vers suivants. Mademoiselle Schneider les chante au premier acte en envoyant le général Fritz combattre les ennemis avec un grand sabre :

Voici le sabre de mon père,
Tu vas le mettre à ton côté,
Ton bras est fort, ton âme est fière,
Ce glaive sera bien porté.
Quand papa s’en allait en guerre,
Du moins on me l’a raconté,
Des mains de mon auguste mère
Il prenait ce fer redouté.
Voici le sabre de mon père,
Tu vas le mettre à ton côté.

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Madame Ugalde va partir si ce n’est déjà fait pour Bruxelles, où elle doit donner quelques représentations des Bavards.

Elle restera quinze ou vingt jours au théâtre des Galeries Saint-Hubert.

De retour à Paris, madame Ugalde entrera au théâtre du Châtelet, où elle prendra, dans Cendrillon, le rôle du prince Charmant, que joue mademoiselle Desclauzas.

Jules Valentin.

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