Débuts aux Italiens, au Théâtre-Lyrique, débuts à l’Opéra-Gomique, reprise d’un vieil opéra d’Auber, ouragan de concerts, tel est le bilan des derniers jours. Peu de chose dans tout ceci. Notre compte rendu sera court.
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Mademoiselle Brunet-Lafleur faisait hier son deuxième début à l’Opéra-Comique dans la Part du Diable. Voilà un opéra qui remonte à vingt-cinq ans ; musique et paroles ont des rides aujourd’hui. Offenbach et ses grands coups de hache portés à droite et à gauche au travers de toutes les épopées, de toutes les majestés, de toutes les sottises empanachées, nous ont délivrés de bien des naïvetés paternelles. D’Homère au baron de Gondremarck, d’Achille à Barbe-Bleue, quelle traînée de démolitions et de massacres le terrible homme a laissée derrière lui ! Et sa besogne n’est pas finie. Il y a encore quelques sottises et quelques vanités de par le monde.
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A. de Gasperini.
