M. Jacques Offenbach vient de publier le Décaméron dramatique avec dix Boccace au lieu d’un pour chanter les Fiametta du Théâtre-Français. Quelques poëtes et quelques
prosateurs qui font des vers par occasion, ont écrit les légendes de ces dix portraits, qui ne sont pas tout de marbre et d’or.
Mais pourquoi a-t-on oublié la plus belle de la maison, mademoiselle Judith, qui a inspiré tant de poëtes ? Est-ce qu’on désirerait le sort d’Holopherne ?
ÉDOUARD HOUSSAYE.