1880

Échos de Paris

Vendredi 15 octobre 1880
A TRAVERS PARIS Nous recevons les nouvelles adhésions suivantes à l’inauguration du buste d’Offenbach :
Jeudi 14 octobre 1880. Mon cher monsieur Périvier, Chivot et moi nous partageons entièrement la manière de voir de MM. H. Crémieux, Meilhac et L. Halévy, concernant le buste futur de J. Offenbach, et nous vous prions de bien vouloir inscrire nos noms à côté de ceux de ces messieurs. Bien à vous, Alfred DURU
Jeudi 14 octobre 1880. Mon cher ami, Nous adhérons de tout cœur à la (...)
La Chanson de Fortunio Les Deux Aveugles Orphée aux Enfers La Grande-Duchesse de Gérolstein Les Brigands La Princesse de Trébizonde La Belle Hélène Barbe-Bleue Les Bavards (Bavard et Bavarde) Le Violoneux Le Mariage aux lanternes Croquefer Mesdames de la Halle

Courrier des théâtres

Vendredi 15 octobre 1880
Il manquait quelques airs à la partition de Belle Lurette, mais on a trouvé dans les papiers d’Offenbach des morceaux pleins d’originalité et qui peuvent s’adapter fort bien aux situations du poème. M. Léo Delibes s’est très gracieusement mis à la disposition de la famille Offenbach et de M. Koning pour orchestrer ces quelques morceaux et surveiller les dernières répétitions. La pièce passera vers la fin du mois. Elle servira de rentrée à Mlle Jane Hading et de début à Jolly. Les autres (...)
Belle Lurette

Échos de Paris

Samedi 16 octobre 1880
A TRAVERS PARIS Aux noms des collaborateurs d’Offenbach qui nous ont déjà envoyé leurs adhésions pour l’inauguration du buste du maestro, nous avons aujourd’hui à ajouter les suivantes. D’abord une dépêche de M. Victorien Sardou :
Marly 14 octobre, 6 h. 30 soir. Prière de joindre mon nom à celui des collaborateurs de mon regretté ami Offenbach, pour l’inauguration de son buste. VICTORIEN SARDOU.
Puis une lettre de M. Jules Verne :
Mon cher ami, Vous seriez bien aimable de me (...)

Courrier des théâtres

Dimanche 17 octobre 1880
Aujourd’hui : (…) Aux Folies, même heure, la Fille du tambour-major ; (…) Jules Prével.
La Fille du tambour-major

Échos de Paris

Mardi 19 octobre 1880
A TRAVERS PARIS Un nouveau nom à ajouter aux amis et collaborateurs d’Offenbach désireux de contribuer à l’hommage de son buste. M. E. Trefeu nous écrit, de Grandcamp (Calvados), qu’il s’associe de tout cœur à l’idée émise par le Figaro. ___
A propos de la première pièce d’Offenbach, nous relevons dans le Carnet d’un Ténor, de G. Roger, cette prédiction qui s’est si bien réalisée :
24 AVRIL 1847. – Nous sommes allés avec Mme Talma au concert d’Offenbach, à la salle Moreau Sainti. Fort (...)

Courrier des théâtres

Mardi 19 octobre 1880
Bien que la magnifique représentation du Trocadéro ait fait sortir dimanche 40,000 francs de la poche du public, les théâtres qui donnaient des matinées à la même heure n’ont pas été très malheureux. Voici, par ordre de chiffres, les sommes qui ont été encaissées dans les théâtres qui donnaient ce jour-là deux représentations : Porte-Saint-Martin 14,484 50 Opéra-Comique 9,440 00 Gymnase 7,662 00 Folies-Dramatiques 5,962 00 Bouffes-Parisiens 4,082 50
Comme on voit, la journée (...)
Belle Lurette

Courrier des théâtres

Jeudi 21 octobre 1880
Voici la liste des matinées qui auront lieu dimanche prochain : (…) Aux Folies-Dramatiques, la Fille du tambour-major ; (…) Jules Prével.
La Fille du tambour-major

Échos de Paris

Vendredi 22 octobre 1880
A TRAVERS PARIS Notre collaborateur Adrien Marx, qui fait partie du comité d’organisation de notre solennité des Variétés, a écrit à la Patti pour lui demander de venir interpréter ce jour-là un fragment des Contes d’Hoffmann, la dernière œuvre du maître défunt. Voici la lettre que lui a répondu la diva :
Mon cher monsieur Marx, C’est avec le plus grand regret que je ne puis prêter mon concours à la matinée organisée par le Figaro à la mémoire d’Offenbach. Il m’eût été très agréable de (...)
Les Contes d’Hoffmann

Échos de Paris

Samedi 23 octobre 1880
A TRAVERS PARIS Nous avons été visiter hier à l’atelier de M. Franceschi, le buste d’Offenbach, destiné au théâtres des Variétés. La terre en est presque entièrement terminée. La ressemblance est surprenante. La tête est tournée résolument et le regard, ferme et assuré, semble vivre ; on croirait revoir Offenbach avec cette expression demi-railleuse et pleine de finesse, qui était la caractéristique de sa physionomie. C’est un très beau morceau exécuté avec autant de chaleur que de talent (...)

Courrier des théâtres

Samedi 23 octobre 1880
Par suite d’un traité passé entre MM. Koning, Meilhac, Halévy et Mme veuve Offenbach, Barbe-Bleue et la Périchole passent au répertoire de la Renaissance. Jules Prével.
La Périchole Barbe-Bleue

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