1880

Courrier des théâtres

Dimanche 24 octobre 1880
Aujourd’hui : (…) A UNE HEURE TROIS QUARTS (…) Aux Folies-Dramatiques, la Fille du tambour-major ; (…) Jules Prével.
La Fille du tambour-major

Courrier des théâtres

Mardi 26 octobre 1880
Le beau temps dont nous avons été gratifiés dimanche a causé quelque tort aux matinées, mais la soirée a été excellente pour tout le monde – ce qui a fait compensation. Voici, par importance de chiffres, le total des recettes réalisées dans les théâtres qui ont joué deux fois : L’Arbre de Noël 13 031 fr. Le Domino noir (matin) et
les Dragons de Villars (soir) 9 908 La Femme à papa 7 243 La Papillonne 6 869 Les Grands enfants 6 015 La Fille du tambour-major
(matin) et le (...)
Belle Lurette La Fille du tambour-major

Courrier des théâtres

Mercredi 27 octobre 1880
Nous sommes à la veille d’avoir quatre solennités en trois jours. (…) Vendredi, à l’Opéra, la reprise du Comte Ory, et, à la Renaissance, la première de Belle Lurette ; (…) Voilà, à l’heure où nous écrivons, la situation dramatique telle qu’elle est. Elle manquera de gaîté – vendredi si nous sommes obligés de choisir entre la musique de Rossini et celle d’Offenbach. Malheureusement, il est à supposer que le Comte Ory et Belle Lurette seront maintenus à la même date : M. Koning aurait bien (...)
Belle Lurette

Courrier des théâtres

Samedi 30 octobre 1880
Ce soir : (…) A la Renaissance, première représentation de Belle Lurette, opéra-comique en trois actes de MM. Ernest Blum, Edouard Blau et Raoul Toché, musique de Jacques Offenbach. Malicorne MM. Jolly Campistrel Vauthier Le duc de Marly Cooper Merluchet Lary Cigogne Jannin Belhomme Alexandre La Boiserie William Givry Libert Lenoncourt Deberg Belle-Lurette Mmes Jane Hading Marceline Mily Meyer Friquette Norette Clorinde Lydte Borel Manon Rolla
Jules Prével.
Belle Lurette

La Soirée Théâtrale – Belle Lurette

Dimanche 31 octobre 1880
Belle Lurette est bien réellement la dernière partition d’Offenbach. Les Contes d’Hoffmann, sur lesquels l’Opéra-Comique fonde de si grandes et – je crois – de si légitimes espérances, sont terminés depuis longtemps, et le travail qu’Offenbach y faisait en ces derniers temps n’était qu’un travail de retouche. Mais c’est dans l’opéra-comique qu’on vient de jouer à la Renaissance que le maëstro a dépensé sa dernière verve et ses dernières inspirations. Quelle joie pour lui quand Koning vint (...)
Les Contes d’Hoffmann Belle Lurette Orphée aux Enfers La Jolie Parfumeuse

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